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    Il y a de l’espoir dans votre lutte pour la lumière

    Devant notre maison située dans la ville de Minneapolis vivent deux pommiers. Ma femme et moi les avons achetés au même endroit et les avons plantés le même jour il y a maintenant plus de quatorze ans. Cependant si vous veniez à passer devant chez nous vers la fin de l’été et que vous seriez amenés à les regarder, vous vous demanderiez pourquoi ces deux arbres sont si différents.

    Le pommier situé au nord de notre maison est l’image même du jeune pommier en pleine santé. Il mesure pas moins de quatre mètres et ses branches s’étendent de manière proportionnelle dans toutes les directions. Il commence juste à avoir ce charme si particulier d’un pommier arrivé à maturité. Quand l’automne laisse place à l’été, pratiquement toutes ses branches sont remplies de superbes fruits. En fait, il y a tellement de fruits que la plupart des feuilles sont tombées pour leur faire de la place.

    Le pommier situé au sud de notre maison est quant à lui bien différent. À première vue, vous pourriez même douter qu’il s’agisse d’un pommier. Il mesure quasiment neuf mètres et possède une forme très allongée. Ses branches sont pleines de feuilles, et bien qu’il produise autant de fruits que notre autre pommier, tous ses fruits sont situés dans le premier tiers supérieure de l’arbre.

    Comment se fait-il que ces deux arbres soient si différents ?

    L’influence de la lutte

    En fait, pendant les sept premières années ces deux arbres étaient quasiment identiques. Les deux grandissaient à la même vitesse et dans les mêmes proportions. Puis quelque chose arriva qui changea la vie du pommier situé au sud. Un mûrier commença à grandir dans une haie située à quelques mètres de lui.

    Nos voisins avaient toujours entretenu cette haie. Mais un jour ils déménagèrent, et me laissèrent l’entretien de cette haie, ainsi qu’un problème. Un talus rendait l’accession à cette haie hors de mon atteinte, même avec mon échelle. Et comme je remettais sans cesse l’achat d’une échelle plus adaptée, la haie grandit et avec en elle un mûrier que personne n’avait vu.

    Le mûrier grandit à une vitesse impressionnante. Il commença à être joli et à attirer énormément d’oiseaux. Des personnes venaient même faire de la confiture avec ses fruits. Alors je l’ai laissé. Mais plus le mûrier grandissait, et plus il bloquait les rayons du soleil nécessaire à mon pommier. Cela força le pommier à lutter afin de trouver de l’exposition au soleil. Pendant des années, l’adversité du mûrier contraint le pommier à grandir d’une étrange manière tout en hauteur, alors que son frère situé au nord grandissait normalement en plein soleil.

    Le Seigneur des muriers

    Peut-être avez-vous eu un mûrier dans votre passé. Il est peut-être maintenant parti, mais ses effets se font toujours ressentir. Il vous a façonné d’une manière que vous n’avez pas choisie. Vous vous sentez différents, anormaux.

    Ou alors peut-être que vous vivez actuellement dans l’ombre d’un mûrier, et que vous êtes en train de vous battre pour recevoir de la lumière. Jésus vous invite à lui demander ce que vous désirez (Jean 15:7). Il vous accordera ce que vous demanderez avec foi, car il est puissant pour enlever les mûriers de votre vie (Luc 17:6). Cependant, ne soyez pas surpris si vous avez l’impression qu’il prend du temps pour le faire.

    Mais que le mûrier soit là ou pas, le Seigneur des mûriers est votre jardinier. Contrairement à moi, il sait où les mûriers poussent. Il a bien vu où le mûrier allait grandir et votre position actuelle n’est pas un accident.

    Vos dimensions en tant qu’arbre dans le jardin de Dieu peuvent sembler différentes des autres arbres et même sensiblement différentes. Mais il y a un but dans ces dimensions uniques (Romains 8:28). Elles auront des bénéfices inattendus, et vous porterez quand même du fruit tant que vous gardez confiance dans votre jardinier (Jean 15:1,5). Vous aurez aussi une capacité unique pour réconforter ceux qui se battent contre des mûriers (2 Corinthiens 1:3-4).

    Rappelez-vous les mûriers, et soyez patients

    Ceux qui passent devant notre jardin et observent le pommier situé au sud pourraient se demander pourquoi cet arbre est comme il est. Il en est de même avec nous. Les autres personnes qui nous observent mais qui ne connaissent pas notre histoire pourraient mal comprendre pourquoi nous sommes comme nous sommes.

    Peut-être qu’eux même n’ont pas eu à vivre avec un mûrier. Ou plus vraisemblablement, leur expérience du mûrier a été bien différente. Ils peuvent ne pas comprendre comment l’ombre de ce mûrier a affecté notre croissance et ainsi mal comprendre nos proportions qui sont différentes. Ils peuvent mal nous juger ou parvenir à des conclusions erronées. Il est possible que nous fassions de même avec eux.

    Les mûriers que nous avons pu avoir dans notre passé peuvent nous amener à faire de mauvaises interprétations dans le présent, alors soyez prudents. Rappelez-vous de ce mûrier et de ce pommier. Que votre amour soit patient (1 Corinthiens 13:4). Et plutôt que de voir les dimensions atypiques chez l’autre comme un défaut, voyez la grâce de Dieu en eux. Très vraisemblablement, ces personnes ont reçu des qualités que vous n’avez pas encore vues.

    Sous le soin du Seigneur Jardinier, tous les mûriers nous changent en quelque chose de meilleu

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    Femmes, parez votre homme intérieur

     

    La beauté d’un esprit doux et paisible

    J’étais en train de profiter de mes vacances avec ma famille. Depuis deux jours, j’avais pris l’habitude de me lever de bonne heure, d’aller m’entraîner, et ensuite – une des choses que je préfère quand j’en ai l’occasion – de me poser devant l’océan avec un café et ma Bible. C’est mon moment calme et rafraîchissant de la journée.

    Mais le troisième matin, alors que je m’asseyais confortablement à mon endroit habituel, j’ai ouvert ma Bible en 1 Pierre et j’ai été rapidement perturbée. J’étais arrivée au chapitre trois, et j’ai lu le passage suivant :

    Que votre parure ne soit point celle du dehors, l’entrelacement des cheveux, les ornements d’or ou l’ajustement des habits, mais l’homme caché dans le coeur, l’incorruptibilité d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu. (1 Pierre 3:3-4)

    J’ai été interpellée par les mots en italiques, et je n’arrivais pas à comprendre pourquoi. Est-ce que je n’avais pas déjà traité ces choses de nombreuses fois auparavant avec mon Seigneur ?

    Je ne suis pas naturellement douce et paisible. Je le sais. Ma nature c’est plutôt de dire les choses que je pense quand je les pense. C’est peut-être pour cela que je suis devenue avocate. Au tribunal, je pouvais manier les opinions et les arguments telle une fine lame.

    Mais j’étais née de nouveau et depuis j’avais appris que ce je pensais être un don dans le monde était un vrai handicap dans le mariage. Si je voulais glorifier Christ, j’avais besoin de mourir à tout ce qui venait naturellement en moi et à marcher par l’Esprit. Et avoir cet esprit doux et paisible fait parti de cette marche.

    Alors, assez tôt dans mon mariage, j’avais pris l’habitude de faire cette prière régulièrement à Dieu. Je lui demandais de faire grandir en moi un esprit doux et paisible, et tout spécialement lorsque j’étais à la maison, avec mon mari.

    Et cependant, après vingt-deux ans de mariage, dans ce coin de plage, l’Esprit était encore en train de me parler sur ce sujet.

    La vie intérieure

    Tandis que je priais pour comprendre pourquoi, la raison devenait plus claire. Comme un film qui repassait devant moi, je voyais tous ces moments durant ce dernier mois où je n’avais reflété cet esprit « doux » et « paisible ». Bien que par la grâce de Dieu, je n’étais plus aussi tranchante avec ma langue, j’avais encore des problèmes… à l’intérieur de moi.

    Je me revoyais quand j’avais été assez facilement irritée et impatiente. Dans ces moments, je n’avais pas forcément dit quelque chose à mon mari, mais à l’intérieur de moi, j’étais bouillonnante. Il y avait eu de l’exaspération dans mon coeur. Et bien que cela n’avait pas été audible, Jésus lui l’avait bel et bien entendu. Et ce n’était pas quelque chose de recommandable.

    N’est-ce d’ailleurs pas le point central de ce message ? Les femmes chrétiennes doivent orner leur homme intérieur. Plus que la manière dont nous nous habillons ou la coiffure que nous portons, c’est le coeur qui compte. C’est le coeur qui doit être l’objet de notre attention. C’est lui qui devrait être étincelant de beauté. Un coeur ronchonnant, mécontent et exaspéré n’est en rien quelque chose d’admirable. Il n’a alors pas cette qualité douce et paisible que le Seigneur trouve précieuse. Le coeur du problème c’était que dans ces moments-là mon coeur n’était pas humble. Cette vision m’attrista.

    Une vie soumise

    Je pris conscience que le principal problème derrière tout cela était un problème de soumission. Je trouvais cela assez ironique puisque j’avais justement enseigné auparavant sur la soumission et j’avais encouragé les femmes à voir la beauté de la soumission en leur citant (parmi d’autres passages) ces versets en 1 Pierre :

    Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que s’il y en a qui n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans la parole, par la conduite de leurs femmes ; lorsqu’ils verront votre conduite chaste et respectueuse. (1 Pierre 3:1-2)

    J’aime beaucoup ce passage. J’aime la paix et la puissance qu’il y a de savoir que Dieu peut travailler nos maris sans un mot de notre part à nous les épouses. Et cependant, ce « sans un mot » doit être accompagné d’une conduite chaste et respectueuse. Je suis à peu près certaine que mon exaspération, bien que cachée, ne correspond pas à cette conduite.

    Pendant ces moments, il était souvent question de la manière dont les choses étaient gérées par mon mari, et pas forcément des choses importantes. Mais quand la chair veut quelque chose, elle le veut. Et même si nous ne nous rebellons pas de manière directe, ce soupir d’exaspération, ce « je-sais-mieux-que-toi-mais-je-le-fais-a-ta-manière » est quand même de la rébellion. C’est un manque d’humilité et un manque de conscience que bien souvent je ne sais pas mieux faire. Je ne compte plus les fois où avec le recul j’ai remercié Dieu parce qu’on avait fait les choses comme mon mari l’avait voulu et non pas comme je l’aurais voulu.

    Jésus désire une soumission du coeur comme nous l’avons envers lui. Quand nous nous soumettons, nous lui faisons confiance. Nous sommes alors en train de dire – peu importe comment les choses sont gérées, peu importe comment mon mari mène les choses, peu importe les décisions qu’il prend – « Je te fais confiance Seigneur pour que tu le diriges lui et notre famille ». Il y a quelque chose de vraiment beau quand nous nous alignons sur notre mari par la prière, plutôt que de rester dans notre opposition, même si elle n’est que silencieuse.

    Et dans ces moments où nous ne faisons pas bien les choses, le Seigneur est là pour nous rediriger.

    Dieu fait grâce

    En vingt-deux ans de mariage, il y a eu de nombreuses fois où je n’avais pas raison. En tant de croyants, nous sommes toujours en train de grandir, en train d’être sanctifiés, et notre chair est en constante opposition avec l’Esprit. Il y aura encore des moments où nous réagirons d’une manière qui ne reflète pas cet esprit doux et paisible. Et bien que nous adhérons pleinement au plan de Dieu au travers de la soumission, il y aura encore des moments où nos mots et nos attitudes ne seront pas en phase avec ce que nous croyons. Mais heureusement, Dieu fait grâce.

    Il nous convainc avec douceur et nous rappelle avec amour quand nous nous éloignons de ses voies. Il veut le meilleur pour nous. Il connaît la bénédiction qui vient d’un esprit doux et paisible, et cette grâce intérieure qui garde notre âme dans la paix, peu importe ce qui se passe autour de nous.

    Quand nous tournons nos regards vers lui, il nous fait grâce et pare notre homme caché dans le coeur de mille joyaux précieux à ses yeux.

    http://www.montrésor.com/femmes-parez-votre-homme-interieur/

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    Le ministère cachée des mères

     

    Entre les « Maman, je veux manger » et les cris de bébés, je vérifie mes statistiques quotidiennes. Combien de vues ai-je faites sur mon blog ? Ai-je reçu des commentaires sur Facebook ? Y a-t-il des personnes qui ont aimé ma page ? Est-ce qu’il y a quelqu’un d’autre que mes parents qui lit ce que j’écris sur mon blog ?

    Ces pensées peuvent paraître innocentes, mais je sais que parfois elles viennent d’un coeur qui a soif de reconnaissance. Je suis souvent surprise de voir à quel point je peux avoir ce désir d’être vue et connue. Peut-être est-ce dû au fait que mon rôle de mère est quelque chose qui se joue dans l’ombre. Mon principal ministère est confiné entre quatre murs. Je ne reçois pas de chèque à la fin du mois, ni de congés, ni de promotion ou d’augmentation. Je ne vois pas toujours tout de suite le fruit de mes efforts, sauf si vous considérez que des toilettes impeccables et des enfants habillés et nourris sont un accomplissement (ce qui, en effet, en est un).

    Je ne suis pas en train de dire que les mères ne peuvent pas travailler en dehors de la maison et recevoir un chèque à la fin du mois, mais le rôle principal que Dieu nous a donné en tant que mère et époux est un rôle qui se joue dans notre maison avec notre famille. Dieu a créé la femme pour porter et nourrir les enfants, tandis que les hommes sont appelés à protéger et à subvenir aux besoins de leur femme et de leurs enfants. Notre disposition de coeur sur ces sujets nous indique où sont nos priorités.

    Une vision différente de l’égalité selon Jésus

    L’appel que Dieu a donné aux femmes ressemble souvent à quelque chose de caché en comparaison de l’appel que Dieu a donné aux hommes. Et cependant nous sommes parfaitement égaux devant Dieu en dignité et en valeur. Notre nation a été basée sur des principes d’égalité – « tous les hommes ont été créés égaux » – une vérité qui est attestée par les Écritures. Mais il n’a pas fallu attendre bien longtemps pour que notre quête d’égalité soit corrompue par le désir d’être reconnu. Il nous suffit de dire que Dieu a donné des rôles différents dans le mariage pour que le monde s’exclame qu’il n’y a pas d’égalité dans le christianisme. Une exclamation qui peut aussi se retrouver dans notre propre coeur. Notre société, ainsi que de nombreuses personnes dans l’église, voit l’égalité comme une similarité à une seule dimension dans laquelle, les hommes et les femmes, les mères et les pères, sont considérés comme des personnes ayant des rôles interchangeables.

    De nombreuses femmes chrétiennes aujourd’hui convoitent, de manière plus ou moins secrète, le pupitre et le rôle d’anciens. Nous demandons de plus en plus de poids dans notre compétition avec les hommes. Nous méprisons les rôles plus cachés, parce que nous voulons être vues et entendues. Nous sommes devenues importantes à nos propres yeux. En soi il n’y a rien de mauvais à vouloir être vu, entendu et connu. Ce sont des désirs que Dieu a mis en nous afin de nous faire regarder à celui « qui n’a pas regardé comme une proie à saisir d’être égal à Dieu ». Philippiens 2:5-8 dit :

    Ayez en vous les mêmes sentiments que Jésus-Christ, lequel étant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à saisir d’être égal à Dieu. Mais il s’est dépouillé lui-même, ayant pris la forme de serviteur, devenant semblable aux hommes. Et, revêtu de la figure d’homme, il s’est abaissé lui-même en se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.

    Nous avons beaucoup de choses à apprendre de Jésus dans ce rôle de mère qui semble se jouer dans l’ombre. Il peut compatir avec nous, parce qu’en entrant dans notre monde, lui aussi a pris un rôle caché. Au ciel, Jésus était au coeur de toutes les attentions tandis que sa gloire brillait comme la lumière du soleil. La louange que recevait Jésus dans le royaume des cieux était une louange sans interruption et sans fin. Il recevait constamment toute la gloire et la reconnaissance ; il était toujours vu, entendu et reconnu. Et cependant, il a choisi de s’incarner dans l’ombre parmi les hommes et il est devenu un bébé quelconque dans une ville quelconque. Celui-là même qui était le seul digne de toute l’adoration et toute la gloire a pris la forme d’un serviteur.

    Pour Jésus, cet acte d’obéissance rempli d’humilité ne l’a pas rendu moins certain quant à son égalité avec Dieu. Jésus était en train de remplir un rôle différent que celui de Dieu le Père, et cependant jamais nous ne le voyons exprimer un sentiment d’infériorité vis-à-vis de lui. Il était si certain de son égalité avec Dieu, que cela n’a pas eu d’impact sur ses décisions. Jésus ne s’est jamais plaint à Dieu de son traitement en apparence injuste en disant : « Pourquoi moi ? Pourquoi n’est-ce pas toi qui y es allé ? » Cela ne veut pas dire que Jésus n’a pas lutté quand la croix du Calvaire s’est approchée de lui, car nous savons que cela a été difficile pour lui dans le jardin de Gethsémané. Mais ce que cela nous montre, c’est que la vision de l’égalité que Jésus a est fondamentalement différente de celle de notre société.

    Dieu voit et reconnaît

    Quand Jésus s’est incarné, il n’a pas été accueilli par une foule, mais seulement par un groupe de bergers. Il a grandi sans honneur particulier dans sa propre ville (Marc 6:4). Il a été rejeté par son propre peuple (Jean 1:11), trahi et abandonné par son meilleur ami, et au final exécuté comme un vulgaire criminel. Il n’a jamais rien fait pour mériter un tel traitement, et cependant il a complètement accepté ce qui lui arrivait. Son cri d’abandon à la croix « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné » (Matthieu 27:46) est resté sans réponse, afin qu’en lui nous puissions être entendu par Dieu. Dieu a détourné ses regards de Jésus alors qu’il portait nos péchés, afin qu’il puisse nous regarder avec joie au travers de la réconciliation qui avait été accomplie. L’honneur et la reconnaissance de Jésus se sont éclipsés à la croix, afin que nous puissions nous-mêmes être reconnus comme des filles de Dieu. Son sacrifice a ouvert la voie afin que nous puissions être vus, entendus et connus par Dieu.

    Le sacrifice de Jésus a paru négligeable et insignifiant aux yeux des hommes. Mais derrière cette apparence se trouvait en réalité une grande gloire, car ses actions allaient ouvrir d’immenses bénéfices pour son peuple. De la même manière, nos sacrifices cachés en tant que mères ne sont pas négligeables ou insignifiants, parce que derrière ces petites choses en apparence se cache une grande gloire qui portera des fruits pour l’éternité.

    Nous pouvons suivre l’exemple de Jésus chaque jour dans nos maisons, en prenant nous-mêmes cette forme de serviteur. Une vie de renoncement, pour le nom de Jésus, n’est pas quelque chose qui est insignifiant aux yeux de Dieu. Et c’est vraiment tout ce qui compte, d’être vu de Dieu dans ce qui semble être des rôles dans l’ombre.

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    Naissances surprises Fait le plein et roule bébé

     

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